• Huile précieuse pour le sac

    Une huile à tout faire que l'on peut glisser dans son sac en raison de son conditionnement mini-mini… 

     

    J'avais trouvé dans une boutique japonaise parisienne d'adorables conditionnements à usage alimentaire, prévus pour conserver un soupçon d'assaisonnement liquide: sauce de soja pour sandwich de poupée par exemple, vue la taille du flacon… (On les trouve ici aussi, en compagnie d'autres contenants tout aussi kawai, puisque c'est le mot consacré… )

     

    J'ai cherché ce que je pourrais mettre dedans qui soit vraiment utile à trimballer… et j'ai pensé à une huile cosmétique polyvalente, à appliquer sur les lèvres, les ongles, voire les mains ou le visage, à raison de quelques gouttes en cas d'urgence. 

     

    Ces mini-contenants se vissent, ils ferment donc convenablement.

     

    J'ai fait le choix de panacher quelques macérats huileux très concentrés que j'affectionne et fabrique régulièrement et avec soin sur des huiles costaudes, bien protégées à la vitamine E.

     

    Mon trio gagnant:

     

     

    1. Macérat de résine d'encens sur coco fractionné.


    Une amie a eu l'extrème gentillesse de me rapporter une merveilleuse résine d'encens d'Oman. Elle a mené l'enquète sur place, la résine doit avoir, entre autres caractéristiques, de légers reflets verts. C'est la variété tenue pour la plus médicinale: les gens la croquent, par tous petits bouts, pour des effets thérapeutiques ou ils la mettent dans de l'eau, où elle se ramollit et ils boivent la mixture, à petites doses comme anti-inflammatoire. 

    J'ai utilisé le coco fractionné, très neutre au nez, comme support.

     

    2. Macérat de matricaire-souci-lavande sur huile d'olive bio.


    L'huile d'olive est un excellent support de macération. J'arrète le macérat quand le parfum des plantes a supplanté celui de l'olive. L'association de ces trois plantes aussi courantes qu'efficaces confère au macérat des propriétés très réparatrices. j'ai eu la chance d'avoir entre les mains une lavande hors pair(un cadeau très odorant de Marie baumes)

     

    3. Macérat de lys "chinois" et de pétales de roses de Provins dans de l'huile de sésame bio.

     

    J'indique "lys chinois" car ce n'est pas exactement la même variété que le lilium candidum utilisé en Europe comme réparateur cutané, même si le chinois semble aujourd'hui vendu comme susbstitut. J'ai passé des jours sur internet à tenter de trouver des fleurs de lilium candidum séchées, peine perdue. Les laboratoire Bardou qui en vendaient ont arrété. On trouve du macérat tout fait (chez AZ, notamment) mais il ne me parait pas très efficace. J'en ai commandé, fabriqué artisanalement, chez Catherine Castille, une productrice affiliée au syndicat Simples, mais j'en consomme beaucoup et elle ne le propose qu'en 30ml.

     

    Pourquoi cette attirance pour ce lys? Pour sa puissance réparatrice. Je l'avais expérimentée à une époque où ne supportant rien sur la peau, mon ultime recours fut une esthéticienne aussi compétente qu'inclassable. Elle employait beaucoup d'ingrédients bruts, qu'elle associait avec du shiatsu. Elle testait prudemment des huiles sur moi. Généralement, ma peau réagissait avec vigueur, je devenais très vite écarlate… sauf avec le macérat de lys qui l'apaisait de façon spectaculaire, et dans la seconde. Je raconte un peu de ma vie pour bien souligner que si cela me convenait (et continue de me convenir), cela ne signifie pas pour autant que cela aille à tout le monde!! En cas de peau capricieuse, Il faut avoir la patience de tester les ingrédients, -sans trop les mélanger- et avec prudence bien sûr.

    Bref, le macérat de lys est resté mon meilleur ami.


    J'ai trouvé des fleurs de lys sur le site Herbes de Chine recommandé par Michèle. Les fleurs de lys  séchées ont pour nom chinois bae he hua (nom latin: lilium brownii pour désigner le lys, le site propose aussi des bulbes). Il ne s'agit pas la fleur d'hémérocalle jaune (jinzhen) souvent trouvée dans les boutiques d'alimentation chinoise sous le nom de lys, et que l'on cuisine.

    Sur plusieurs sites, le lilium brownii est assimilé au lilium candidum, ou présenté comme un équivalent. 

     

    Par exemple ici,

    ici ou  ici

     

    J'ai ajouté dans la macération des pétales séchés de rose rouge de Provins (un autre cadeau de Marie Baumes), et j'ai réalisé ce macérat sur de l'huile de sésame bio, l'une des huiles les plus bénéfiques pour les peaux fragiles. Elle est à la fois riche en vitamine E et en insaponifiables. J'en avais déjà fait l'éloge ici

     

    J'ai également compté:

     

    -6% d'huile de rose musquée bio, très cicatrisante

     

    -2% de vitamine E naturelle, en plus de celle déjà utilisée comme anti-oxydant dans les macérats

     

    -des micas mordorés dilués sur un mélange jojoba-coco fractionné

     

    - et enfin, quelques gouttes d'une très belle création de Kayacaramel: une résine d'encens fondue dans de l'He de géranium, ce qui adoucit la note fleurie sans l'estomper néanmoins.

     

     

    Ce qui donne sur un total de 50g (multiplier les chiffres indiqués par deux pour les pourcentages)

     

    P1020084.jpgLe mini-flacon possède à peu près la taille qu'il affiche sur la photo. J'ai trouvé quelques petits pochons à bijoux dans une brocante qui permettent de ranger l'huile dans un sac sans souci. 

     

     

    Huile précieuse pour le sac

     

    17g macérat de lys chinois et de rose de Provins sur huile de sésame bio+ vit E

    17g macérat de matricaire-souci-lavande sur huile d'olive bio + vit E

    10g macérat d’encens sur huile de coco fractionnée

    2 g rose musquée bio

    3g huile de ricin bio+jojoba bio+micas mordorés

    1g vitamine E naturelle

    3gtes HE géranium sur encens (Kayacaramel)

     

    Mélanger le tout, et conditionner.

    Voilà, c'est tout.

    Le parfum de l'huile a une note géranium très adoucie.


    .

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 17 Mai 2013 à 08:48

    Bonjour Violette,

    ce qui est pratique c'est qu'ils sont venus avec une petite poire pour pouvoir les remplir facilement

    2
    Vendredi 17 Mai 2013 à 08:48

    C'était l'idée, Nansou…

    3
    Vendredi 17 Mai 2013 à 08:53

    Bonjour Jac

     

    J'ai bien précisé dans l'article qu'il s'agissait de contenants à usage alimentaire, ce qui est déjà une garantie minimale. Par ailleurs, il ne s'agit pas de mettre dedans des HE, mais des huiles, qui attaquent bien moins le plastique. 

    Par ailleurs, j'emporte souvent des mini flacons de verre (2 à 2,5ml) pour les HE, même si j'ai hélàs parfois des surprises à l'usage…

    4
    Vendredi 17 Mai 2013 à 17:23

    C'est une bonne idée ça, un joli petit flacon pour le sac contenant une huile sûrement merveilleuse.

    Sont-ce les fleurs entières, les pétales ou le bulbe que tu fais macérer pour le lys ? est-ce que cette macération est très odorante ?

    5
    Samedi 18 Mai 2013 à 13:47

    Venezia, très joli petit flacon !

     

    Merci beaucoup pour cette recette.

    6
    Samedi 18 Mai 2013 à 17:34

    Lippia,

    Lippia,

    je vais invoquer les anges des jardiniers pour que tes lys prospèrent.

    A cause de cette disparition des fleurs séchées, je voulais en planter mais je m'y suis prise trop tard cette année car la vente des bulbes de lilium candidum est très saisonnière.- j'ai repéré deux variétés, dont l'une plus rustique que l'autre, c'est elle que je guette pour Paris (ou la Bretagne)

    7
    Samedi 18 Mai 2013 à 17:37

    Pour les lys, j'utilise les pétales séchés. ils ne sentent strictement rien. Le macérat artisanal acheté (je ne sais pas s'il est fait sur du frais ou du sec) ne sent rien non plus. Dans le temps, j'achetais un macérat dans une herboristerie parisienne: pas odorant non plus (j'ai arrété le jour où ils m'ont fourgué une huile mélangée à un extrait alcoolique de lys!) .

     

    Comme j'ai également commandé des bulbes séchés chez Herbes de Chine (également utilisés en cosmétique), je vais aussi essayer un macérat de bulbes.

    8
    Samedi 18 Mai 2013 à 17:39

    De rien Colchique;

    c'est une huile que je trouve agréable car le sésame et l'olive la rendent nourrissante tandis que le coco fract fait qu'elle penètre vite.

    9
    Samedi 18 Mai 2013 à 17:44

    Gngembre,

     

    Merci pour ton enthousiasme. Toutes les plantes utilisées sont sèches. Je te déconseille totalement  d'utiliser des plantes achetées en jardinerie, sauf si elles sont étiquetées bio (ce qui est rarissime). Sinon, elles sont bourrées de cochonneries chimiques (notamment avec des produits systémiques qui pénètrent dans la sève).

    Souci, camomille matricaire et lavande séchées se trouvent facilement en herboristerie voire maintenant même en pharmacie.

    10
    Dimanche 19 Mai 2013 à 00:12

    J'avais fait un macérât de lys blanc l'année dernière,mais je me demande si finalement mes lys blancs sont de vrais lilums candidums?

    Mais c'ets vraiq eu j'ai cette saleté de criocères chaque année. L'année dernière les oranges,à j'en ai repéré 2 alors que les lys blancs sont à peine sorties,c'est fou.

    Pour en revenir à ta recette,elle m'inspire bien cette petite huile bonne à tout.

     

     

    11
    Dimanche 19 Mai 2013 à 18:55

    Quelle jolie idée, cette huile multi usages pour le sac. Le contenant est absolument adorable. De quoi garder son âme d'enfant pour longtemps.  Le petit sac chiné est adorable lui aussi. Bises.

    12
    Mardi 21 Mai 2013 à 21:49

    Totalement craquant cet éléphant. J'aime tant l'idée d'avoir un éléphant dans mon sac

     

    Parfum de géranium en effet et comme j'associe ce parfum à une note très dermophilen, je la garde pour les mains.

    Le verrouillage est très efficace, tu as raison de le préciser.

     

    Je viens de vérifier dans le livre des Ckergeaud aux éditions Amyris que l'huile de lys faite avec une macération de fleurs fraiches est riche en allantoïne.

    Je me souviens que nous en avions parlé je ne sais plus où en commentaires d'un de tes messages mais j'ai un vieux doute sur l'extraction d'allantoïne sur de l'huile. Même peu soluble dans l'eau et plutôt dispersible, il me semble qu'il faut de l'eau.

    Même si le macérat huileux de consoude est utile et efficace, je ne pense pas que ce soit grâce à l'allantoïne que l'on extrait.

    Hier l'une de mes copines s'est soudainement mise à se gratter le bras en revenant d'une marche en forêt.

    Nous sommes passées à côté du buisson de consoude, j'en ai froissé une grosse feuille qu'elle a frottée sur son bras le temps de faire les 500m qui nous séparaient de la maison.

     

    Plus rien en arrivant. Elle était surprise car ce n'est pas une adepte de mes potions magiques qu'elle semble toujours regarder d'un air dubitatif .

     

    Je ne suis pas prosélyte sur ce coup là, je préfère les actes aux paroles Elle est repartie avec des savons...

    13
    Mardi 21 Mai 2013 à 21:52

    http://www.mellimellow.com/2012/08/12/la-consoude/

    En effet il y a un doute sur l'allantoïne en macérat huileux. Mais cela ne remet pas en cause l'efficacité du macérat huileux de consoude, j'adore son vert pétant.

    14
    Mercredi 22 Mai 2013 à 18:14

    Pour ne pas oublier : j'obtiens un joli vert en savonnerie avec le macérât de consoude ...

    J'aime beaucoup ce raffinement Princesse, ces macérâts et, amoureuse de l'encens, je veux bien en croquer de petits morceaux aussi ! Je l'utilise à toutes les sauces et je l'affectionne en décoction à laquelle je rajoute un peu de miel. La peau adore ...

    L'équilibre doit être subtil mais je te fais confiance pour l'avoir réalisé car si la matricaire est celle que je connais, elle est très puissante. Le maximum d'effet dans la subtilité et des ingrédients de choix.

    :-)

    15
    Jeudi 23 Mai 2013 à 16:49

    Au vu de la  photo que tu m'as envoyé, je n'en suis pas si sure. J'ai lu ça et là que si l'on vaporisait une infusion à base de tanaisie, ça pouvaitéloigner de ces fichus criocères.

    16
    Jeudi 23 Mai 2013 à 16:51

    Merci Loulou, les contenants font parfois autant plaisir que les contenus, et tu es bien placée pour le savoir, avec tous les exquis pochons que tu fabriques!

    17
    Jeudi 23 Mai 2013 à 16:56

    Lippia,

     

     

    l'enfleurage est efficace mais un vrai travail de patience; il faudrait que j'essaie sur une huile solide, car sur une huile fluide, l'oxydation est vraiment très (trop)rapide; j'ai eu de meilleurs résultats sur du natrasorb.

    18
    Jeudi 23 Mai 2013 à 16:57

    Sylvie,

     

    je pense que c''est une formule très déclinable selon ce qu'on a sous la main…

    19
    Jeudi 23 Mai 2013 à 16:58

    Ed, je vais me facher si tu ne l'utilises pas, c'est fait pour… on inventera autre chose une prochaine fois…

    20
    Jeudi 23 Mai 2013 à 17:02

    Michèle,

     

    j'ai fait un article sur la consoude pour répondre plus longuement.

     

    je pense que pour le lys, ce n'est pas seulement l'allantoine qui doi fonctionner. néanmoins, une vieille recette traditionnelle est cele de macération de pétales frais dans du cognac comme cicatrisant.

    je me suis étonnée du manque de parfum des macérats huileux de lys. je viens de découvrir dans le livre de Fournier (que je cite dans l'article sur les savons à la consoude) que seul le macérat sur fleurs fraiches était odorant!

    21
    Jeudi 23 Mai 2013 à 17:02

    merci pour le lien, Michèle.

    22
    Jeudi 23 Mai 2013 à 17:04

    Coucou ma chère Irène,

     

    En fait, chaque macérat était très odorant; donc la matricaire que tu connais se tient à carreau avec toutes ces  copines costauds à ses côtés…

    23
    Dimanche 26 Mai 2013 à 07:25

    Lippia,

     

    j'avais trouvé la recette dans un vieil ouvrage publié à une époque où le natrasorb n'existait pas encore… donc un autre amidon devrait marcher sans souci.

    le jasmin que je ramasse en Grèce est proche du parfum du sambac je trouve.

    24
    Dimanche 26 Mai 2013 à 07:27

    Pas de souci Emadra, les commentaires, et surtout  sur les plantes, sont toujours les bienvenus ici.

    25
    Dimanche 26 Mai 2013 à 07:28

    Ed, c'est aussi un iste que je lis souvent!!

    26
    violette
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    ouh qu'il est trognon ce petit flacon ^-^ je les connais ces petits flacons a sauce ^-^

    ca a l'air de sentir tres bon en tout cas !

    27
    nansou
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06
    HUm ! Voilà un très joli trésor de sac !
    28
    jac
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    J'ai pas trop confiance aux plastoc de ces beaux packaging .... est ce un tort ? 

    29
    Lippia
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    Intéressants ces petits flacons légers et incassables!

    Depuis que tu parles de l'intérêt du macérat de lys, je n'ai qu'une idée c'est en fabriquer. Mais chaque fois que j'ai planté des lys ils étaient attaqués par cette satanée criocère.                                                                                         Cette année j'ai néanmoins acheté des bulbes mais je les ai plantés mais en pot sur la terrasse et ceci pour 2 raisons: pour surveiller les attaques des criocères et pour pouvoir déplacer le pot au bout du jardin quand les fleurs apparaîtront car mari chéri ne supporte absolument pas ce parfum  ... déjà que j'avais retrouvé mon petit jasmin dehors il y a quelques jours (il est vrai que le parfum était quand même entêtant !), je ne voudrais pas avoir l'air de faire de la torture olfactive 

    Bref tout ça pour dire que si qq fleurs de lys échappent aux criocères, je me ferais un plaisir de t'en envoyer

    30
    gingembre
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    Merci Venezia pour ce papier. Cette huile me paraît divine ! Dans un premier temps, je retiendrai tes formules de macérâts si originales. Merci pour toutes ces précisions , précieuses pour moi qui manque d'imagination:) Peut-on les reproduire avec des fleurs séchées ?  Lippia parle du lys et du jasmin, peut-on utiliser ceux que l'on trouve en jardinerie en ce moment ?

    31
    Lippia
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    Petite précision à l'attention de Gingembre. Je ne fais pas de macérat avec les fleurs de jasmin, je fais seulement un enfleurage afin d'essayer d'en extraire le parfum. Je pose les fleurs très odorantes sur un "lit" de palme ou de coprah que j'ai piqué à la fourchette pour augmenter la surface de "captage"et je laisse les fleurs un jour (ou deux car actuellement il fait tellement froid  ) ensuite je les jette et je renouvelle avec des fleurs qui viennent d'éclore. La suite du procédé ici avec cet excellent article

    32
    sylvie
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    tout me plait dans ta formule!!!! bises

    33
    emadra
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    Si vous saviez comme cette huile de sac est raffinée.

    L'adorable pochon et son flacon se glissant dans le sac, c'est magnifique.

    Suis toujours sous le charme de tes contenants atypiques que je ne trouve nulle part ailleurs.

    Et le parfum, hum un délice de raffinement, il est féminin et sensuel avec sa note de géranium adoucie par l'encens.

    Bref, c'est une merveille que j'admire sans oser l'utiliser tellement je souhaite conserver cet écrin longtemps.

     

    Merci infiniment belle Princesse pour ce ce magnifique cadeau qui signe ta délicatesse et la magie de tes synergies.

    Ainsi que tous tes liens.

     

    Lippia, quel est ton jamsin odorant ?

    Car j'avais un étoilé particulièrement parfumé qui a gelé sur ma fenêtre pourtant abrité. remarque il me semble qu'il ne supporte que -5° max.

    Puis j'ai planté un officinal, beaucoup plus résistant mais il ne sentait rien et la 2è année plus aucune fleur, nada !!!

    34
    Lippia
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    Venezia si la floraison de mon jasmin le permet je vais essayer le tapioca car je me souviens avoir lu ton article mais à ce moment je n'avais pas de fécule de tapioca, je ne sais pas si c'est vraiment identique au natrasorb mais bon...

    re-petite précision pour Emadra cette fois. (Désolée Venezia de squater ton sujet...) 

    Celui que j'ai définitivement mis dehors vu son parfum entêtant est celui-ci.

    L'an dernier j'ai acheté un trachelospermum jasminoïde appelé aussi jasmin étoilé réputé pour être nettement plus résistant aux températures négatives que le jasmin off. (c'est du moins ce que j'avais lu lors de mes recherches). Vu les températures de cet hiver, je l'ai malgré tout  rentré, je n'avais pas envie qu'il meure et je vais le rempoter demain... s'il ne neige pas (on est quand même le 23 mai !!!  ) Il a des feuilles beaucoup plus épaisses que l'autre et non caduques, les fleurs sont vraiment jolies, un peu "cireuses" moins fragiles et je pense un rien moins parfumées.

    Donc, cet hiver, je vais tester prudemment la résistance de ces belles plantes et les rentrer si nécessaire.

    35
    emadra
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    OK Princesse, s'il te plait ne te fâches pas.

     

    Merci Lippia pour tes présicions.

    Alors ce n'était pas un jasmin étoilé mais peut-être un grandiflorum, c'était un cadeau d'une amie.

    Sorry de polluer moi aussi Princesse

    36
    emadra
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06

    Mince suis Emadra et non pas NaN !!!

     

    J'aime beaucoup ce lieu

    http://nature.jardin.free.fr/

    37
    emadra
    Vendredi 15 Août 2014 à 22:06
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